Un proche de Philippe Godin nous propose cette photo prise à Uccle, avenue de l’Observatoire en 1911. La voiture est une Vivinus 4 cylindres, un des derniers modèles fabriqué par la marque bruxelloise avant sa liquidation en 1912.
Fondée en 1899 par l’ingénieur français Alexis Vivinus et le Comte Jacques de Liedekerke, la société, installée 244 rue du Progrès à Schaerbeek (Bruxelles) puis rue Destouvelles à partir de 1905, est surtout connue pour ses voiturettes monocylindres très « début de siècle ». Vivinus a pourtant produit de plus grosses voitures à 4 et 6 cylindres, telles que la type « L », une 6 cylindres de 3700cc qui s’illustra en courses.
Alexis Vivinus, intéressé par les moteurs d’avions, de dirigeables et de bateaux, diversifia peut-être un peu trop ses activités, ce qui l’obligea à fermer son entreprise en 1912. Le bâtiment de la rue Destouvelles fut repris par FAB, tandis qu’Alexis Vivinus, après une brève représentation de la marque française Clément Bayard, passa chez Minerva où il s’occupa de la mise au point du célèbre moteur de 40cv de la marque.
Depuis 1999, le Rétromobile Club de Spa organise, une année sur deux, une grande fête qui réserve le centre de la ville de Spa aux véhicules anciens, non pas sous la forme d’une exposition statique mais bien d’une concentration active où les véhicules anciens peuvent aller et venir librement dans l’enceinte de la belle ville de Spa. Pour parfaire la fête, les spectateurs sont cordialement invités à participer à cette fabuleuse organisation qui rassemble à chaque fois plus de 1200 véhicules anciens. L’accès piétonnier des visiteurs est entièrement gratuit de même que les parkings mis à leur disposition. Plus de 15.000 visiteurs sont attendus, pour assister, entre autres, au traditionnel concours d’élégance.
30 véhicules ont été sélectionnés pour participer au superbe concours d’élégance. Ils seront présentés devant un jury qui statuera sur base du modèle, de son état d’origine ou de la restauration, de la tenue adéquate des équipages et du show présenté. participer à la grande fête du Rétromobile Club de Spa.
En résumé…
un rassemblement géant de plus de 1.200 Oldtimers, avec possibilité de réserver des espaces clubs.
la participation facultative aux balades découvertes de la région organisées le samedi 24 août 2024 à partir de 14 heures.
le dimanche 25, la Ville de Spa exclusivement réservée à la circulation des véhicules anciens préalablement inscrits.
un superbe concours d’élégance parmi 30 véhicules préalablement sélectionnés.
une parade géante pour ceux qui le désirent.
surtout une ambiance extraordinaire avec plus de 15.000 visiteurs venus admirer nos anciennes.
pour les retardataires, la possibilité de s’inscrire le jour même aux 2 entrées principales de la Ville.
En résumé du résumé : Il faut ABSOLUMENT y aller !
30 ans après sa disparition, personne n’a oublié Ayrton Senna, un des plus grands pilotes que la Formule 1 ai connu, dramatiquement décédé le premier mai 1994, lorsque sa William-Renault a violement percuté le mur en béton de Tamburello, alors qu’il était en tête du Grand Prix d’Imola.
La maison de production brésilienne Gullane a décidé de lui consacré une mini-série de 6 épisodes qui sera diffusée, cette année encore, sur Netflix. Ce biopic reprend les moments forts de la vie du pilote grâce à de fidèles reconstitutions et quelques images d’archives. Le rôle d’Ayrton Senna a été confié à l’acteur brésilien Gabriel Leone qui semble des plus crédible.
Une série qui devrait plaire aux amateurs les plus exigeants, heureux de voir revivre ici ce pilote de légende. Il faudra juste un peu de patience…
Bonjour à tous ! Notre Delage D6-11 datant de 1933 a disparu de son garage de Court-Saint-Etienne (1490, Belgique) durant la nuit du 5 au 6 juin 2024.
Il s’agit d’une D6-11 berline 4 portes de couleur beige clair. La voiture porte le numéro de châssis 37530, la carte grise était dans le vide poche. Elle était immatriculée en plaque belge, n° 1-OYD-133, mais nous savons que la plaque a été arrachée. Elle a vraisemblablement été chargée sur une remorque ou un camion plateau.
Elle ne passe pas inaperçue, même repeinte elle reste facilement reconnaissable à quelques détails uniques !
Si vous la rencontrez, merci de m’appeler au +32 476/20.69.67 ou de contacter le commissariat de police le plus proche. Merci d’avance !
En novembre 1940, l’article ci-dessous parut dans Modern Mechanix sous le titre « refroidisseur d’air à installation rapide pour la conduite par temps chaud ». « Ce nouveau refroidisseur d’air s’installe et se retire en quelques minutes et s’adapte à n’importe quelle voiture. L’air est filtré et purifié et également refroidi par l’atomisation de l’alimentation en eau dans l’appareil. Cela fonctionne automatiquement par le flux d’air lorsque la voiture est en mouvement. Quelques entrepreneurs avisés ont découvert le moyen de gagner de l’argent facilement pendant la chaude saison des fêtes. L’un d’eux les loue au péage du Sud tandis que l’autre les reprend à la sortie de l’autoroute dans la villégiature. Il les loue ensuite aussitôt aux automobilistes de retour de congé. Par exemple, ils n’ont aucun frais de transport et les appareils eux-mêmes n’ont aucun frais d’entretien, juste un peu d’eau dans le réservoir. C’est donc une mine d’or pur. »
Créé en 2011 sur le circuit préféré des pilotes, Spa-Classic a grandi progressivement pour figurer parmi les grands événements européens de courses historiques. En 2023, le meeting belge a rassemblé plus de 22 000 spectateurs, faisant de cette épreuve une des plus populaires de la saison. Un tracé de renom, serpentant au cœur du massif de l’Ardenne, considéré par les pilotes comme le plus beau du monde.
Dans la saison Historic Racing by Peter Auto, Spa-Classic tient à coup sûr une place à part. Le tracé du circuit est sans doute le plus confrontant de tous et la météo de ce magnifique coin des Ardennes, souvent capricieuse, oblige les pilotes et leur équipe à se remettre en permanence en question.
Cette année, à côté des incontournables plateaux plébiscités par le public, deux nouveaux plateaux font leur apparition : The Gentlemen Challenge, regroupant les anciens plateaux The Greatest’s Trophy et Fifties Legends et le tout nouveau Classic Touring Challenge, élargissant la diversité des modèles en piste.
L’Heritage Touring Cup (HTC pour les plus habitués) fera revivre la grande époque des 24h de Spa et des 1000km de Spa. En mettant en scène des voitures qui ont concouru entre 1966 et 1984 de jour comme de nuit. Des véhicules comme les Ford Capri 2600 RS et la BMW 3.0 CSL seront de la partie, rappelant les luttes intenses et les compétitions acharnées de cette époque.
Le nouveau plateau Classic Touring Challenge rendra hommage aux voitures des 500km de Spa. Une course moins longue mais tout aussi emblématique, qui a contribué à l’histoire des courses de tourisme. Ce plateau offre une variété de voitures de tourisme classiques, recréant la diversité et l’intensité de cette époque, avant 1966, qui vit d’impressionnantes et étonnantes batailles, opposant les courageuses et agiles Mini Cooper ou Lotus Cortina aux puissantes et imposantes Jaguar Mk2 ou Ford Falcon.
Une exposition inédite de Porsche 917 promet d’être une expérience inoubliable pour les passionnés de sports mécaniques. Parmi les joyaux exposés, on trouvera la 917-043 à la longue queue, arborant une peinture psychédélique vert et violet, captivant le regard des visiteurs. La légendaire 917-023, célèbre pour sa victoire au Mans en 1970 avec sa livrée rouge et blanche, sera également présente, rappelant les moments glorieux de l’histoire de la course automobile. Les amateurs auront également l’occasion d’admirer la 917-021/12, et la 917-025 ainsi que la 917/10-002, un Spyder Can-Am rouge, et une 917 Spyder Interserie blanc, dont le numéro de châssis reste à dévoiler, ajoutent une touche de mystère à cette exposition exceptionnelle.
L’attrait ne se limite pas seulement aux voitures légendaires, car l’exposition accueillera également des pilotes de renom. La présence de Brian Redman, Gérard Larrousse, Richard Attwood, Jürgen Barth, Rainhold Joest, Mario Casoni et Philippe Siffert Jr., qui représentera son défunt père, promet une rencontre unique avec des figures emblématiques du monde de la course automobile. Ces pilotes chevronnés apporteront non seulement leur expertise, mais aussi des anecdotes fascinantes, offrant aux visiteurs une immersion totale dans l’histoire vibrante de la Porsche 917.
Les clubs et collectionneurs seront une fois de plus attendues en nombre. Après la présence d’environ 1.400 voitures et près de 45 clubs lors des dernières éditions, l’objectif sera cette année encore de réunir toujours plus d’automobiles de collection. Parmi les attendus, le Club 914 et ses centaines de voitures deviendra le rendez-vous européen de l’année. Sept sessions de piste, de 15 à 20 minutes chacune, leur seront proposées durant le week-end pour découvrir et profiter du fabuleux tracé de Francorchamps.
La billetterie est d’ores et déjà disponible sur le site officiel Peter Auto : peterauto.fr
Le 8 février 2024, la dernière Volvo diesel a quitté l’usine de Gand et le 26 mars, la dernière XC90 diesel construite à Torslanda, en Suède, a rejoint directement le nouveau musée World of Volvo qui ouvrira ses portes le 14 avril 2024 à Göteborg.
Comme annoncé en septembre dernier, la marque suédoise a décidé de tourner une page en allant résolument vers des modèles électrifiés, conformément à son image de précurseur, en matière de sécurité entre autre.
L’apparition de Volvo diesel remonte à 1979, avec l’arrivée sur le marché de la 244 GL D6, mue par un 6 cylindres d’origine VW développant 82cv. Une puissance un peu faible compte tenu du poids de la voiture mais s’accordant bien avec son image de solidité.
Il faudra attendre 2001pour que Volvo construise son propre moteur diesel, coordonné avec le lancement de la V70. A partir de 2008, Renault et Mitsubishi équipent les V40, Volvo reprenant la main en 2013 avec un 2 litres maison qui sera jusqu’il y a peu utilisé en hybride rechargeable.
En 1974, le concept de la Coccinelle VW répondait plus aux normes du moment. Sa remplaçante est dotée d’une traction avant et c’est désormais une évidence, d’un moteur refroidi à l’eau et monté à l’avant. Un grand hayon et une banquette arrière rabattable témoignent d’un agencement de l’habitacle davantage tourné vers la fonctionnalité. Giorgetto Giugiaro est nommé responsable de son design. Le résultat se traduit par une voiture très compacte, proposée en deux et quatre portes. Son poids est inférieur de 165 kilos à celui de la Coccinelle. Ses motorisations, 1,1 litre – 50 ch ou 1,5 litre – 70 ch suffisent amplement pour assurer d’excellentes performances au nouveau modèle. Grâce aux techniques de production optimisées et à un prix de vente supérieur de 600 DM à celui de la Coccinelle VW en Allemagne, la nouvelle Volkswagen a tout pour réussir. Mais le public allait-il suivre ?
Golf I
Volkswagen n’a pas besoin d’attendre longtemps pour connaître la réponse. Les ventes de la nouvelle Golf, qui emprunte son nom au Gulf Stream, s’envolent. À la clôture de la production en 1983, 6,9 millions de Golf auront été assemblées. En Afrique du Sud, la production se poursuit même jusqu’en 2009 ! Pratiquement depuis les premiers instants, Volkswagen va aussi faire évoluer sa Golf. Aucun autre modèle de voiture ne connaît un tel nombre de variantes. Il en va ainsi des versions américaine (Rabbit) et mexicaine (Caribe), tout comme, bien sûr, des mythiques GTI, des diesels, des pick-up et des cabriolets. La Golf ne cesse de surprendre.
Golf II
Il en va de même pour la Golf II, qui succède à la Golf I en 1983. La deuxième génération est plus spacieuse, pour satisfaire la demande d’un confort accru. Le concept de base lui reste inchangé. Le nouveau modèle est dessiné directement à Wolfsburg et pour la première fois, la production est entièrement automatisée. Viendront ensuite les niveaux d’équipement C, CL et GL. Cela tombe sous le sens : la Golf II sort aussi en version GTI et est dotée d’un modèle de 160ch avec transmission intégrale, spécialement homologuée pour les rallyes, ainsi que d’une version Country tout-terrain. La gendarmerie belge se tourne également les Golf GTI pour damer le pion aux gangs et réagir aux braquages courants en cette époque troublée. Visionnaire, Volkswagen lançe la CitySTROMer II, une variante électrique qui sera produite à 70 exemplaires dès 1985. En 1987, un prototype hybride voit déjà le jour. Et une fois de plus, VW frise les records de ventes. En 1988, la 10 millionième Golf sort de la chaîne de production.
Golf III
La Golf III est dévoilée en 1991. Ce modèle se caractérise par des dispositifs de sécurité nettement plus efficaces pour le conducteur comme pour les passagers. Ses courbes ont pris un net arrondi et elle arbore un design plus moderne, plus aérodynamique, mais aussi plus intemporel. Cette troisième mouture bénéficie, elle aussi, de versions CL, GL, GT, GT Special et GTI, ainsi que d’une première variante break et d’un cabriolet, un développement que n’a jamais connu la Golf II. La version la plus spectaculaire est la VR6, dotée d’un six cylindres de 174 ch sous le capot. En 1997, c’est la 4 805 000e Golf III qui quitte la chaîne de production, ponctuant de nouveau la réussite du modèle.
Golf IV, V, VI, VII, 7.5 et VIII…
Après 50 années de production, la 8e génération de Golf poursuit son chemin. L’e-Golf est ensuite remplacée par l’ID.3. Aujourd’hui, le compteur du nombre de Golf produites atteint les 37 millions, ce qui en fait, et de loin, la voiture européenne la plus vendue de tous les temps.
Du 1er mars au 28 avril, Autoworld retrace l’histoire de la voiture européenne la plus réussie qui en est maintenant à sa 8e génération !
La tradition familiale aurait voulu que Charles Stewart Rolls, troisième fils de Lord Llangattock, s’oriente vers une carrière militaire, politique ou religieuse. Le jour où il illumina la propriété de Mendre, dans le Monmoutshire, grâce à une installation électrique de sa conception, ses parents durent se rendre à l’évidence que Charles Stewart, brillant étudiant à Cambridge, risquait de choisir une autre voie.
A 17 ans, il arrive en France où il côtoie le milieu de l’automobile en plein expansion, très en avance sur une Angleterre tétanisée par des règles de circulation très strictes. Il sème la panique en rentrant à Cambridge au volant d’une Peugeot 3,3/4 cv à la folle moyenne de 7 km/h. Peu de temps après, il relie Cambridge à Monmouth, soit 255 km en deux jours.
Diplômé ingénieur en sciences appliquées et mécaniques, il vient alors régulièrement en France pour y assouvir sa passion ; Il achète un tandem Bollée, puis la Panhard n°6 victorieuse du Paris-Marseille. Rolls passe alors commande d’une Panhard de course équipée de pneumatiques et se lance dans la compétition: 1er à Biarritz, 2ème de Paris-Ostende, médaillé d’or des 1000 miles de Grande-Bretagne en 1900, épreuve organisée par l’Automobile Club dont il est un des fondateurs les plus entreprenants.
En 1901, il achète une Mors 60cv, qu’il conduit à la 18ème place du Paris-Berlin, puis, toujours à son volant, il bat le record de vitesse du kilomètre lancé entre Maisons-Laffitte et Conflans à la moyenne de 102,976 km/h.
Il publie la même année un traité sur l’automobile. Son Paris-Vienne 1902 se termine prématurément suite à un accident. Il se réattaque au kilomètre lancé sur une Mors 80cv, son record ayant été entre-temps battu par Jarott, et reprend son bien à Clipstone.
Agé de 26 ans, Rolls crée la C.S. Rolls and Co, avec plusieurs amis dont Claude Johnson et Henri Edmunds. Cette société, destinée à importer les Panhard et Levassor en l’Angleterre, aura très vite les représentations Mors, Clément, Minerva, etc… Ces voitures se vendent bien, mais bon nombre de clients aimeraient acheter anglais. Rolls ne trouve pas d’automobile anglaise de classe comparable. Il envisage alors de construire ses propres voitures, mais se heurte à des difficultés techniques.
Orphelin à 9 ans, aîné d’une famille nombreuse, Frederick Henry Royce réussit à monter à Manchester une petite fabrique de grues et de treuils puis se lance dans la construction de voitures de grande qualité. Un de ses premiers clients est un certain Henri Edmunds, ami et associé de Charles Rolls… Edmunds provoque la rencontre Rolls/Royce, et le premier accord, en 1904, porte sur la vente, par la C.S. Rolls and Co, des voitures de marque Royce.
Les deux hommes s’avèrent si complémentaires que le16 mars 1906 naît la marque Rolls-Royce au capital de 60000 livres. Charles Rolls apporte personnellement 10.000 livres, prend la fonction de directeur technique et se réserve la publicité de la marque. Une publicité basée sur ses relations et la compétition.
Il prend régulièrement le volant, pour remporter, par exemple, le Tourist Trophy 1906 à près de 53 km/h de moyenne, au volant d’une 20 hp. Lors du lancement de la Silver Ghost, il décide un raid non-stop allé et retour entre Londres et Glasgow, durant 15 semaines, soit 15.000 miles. Il sera l’un des 4 pilotes de cet exploit qui se déroulera sans le moindre incident.
Mais Charles Stewart Rolls a soif d’aventures et de nouveautés. Il découve en 1906 les joies de l’aérostation, se classant 4ème de la coupe Gordon Bennett des ballons sphériques, puis fait la connaissance des frères Whright, essaie un de leurs avions, ce sera pour lui une nouvelle révélation. Il deviendra rapidement un pilote expérimenté et intrépide, dont l’histoire retiendra la traversée de la Manche, dans les deux sens, le 2 juin 1910, à bord de son biplan Whright. Le 11 juillet 1910, durant un meeting à Bournemouth, la chance le quittera un instant, et son avion, en s’écrasant au sol, fera de lui la première victime de histoire de l’aviation britannique. Né le 27 août 1877, il n’avait pas 33 ans…
Un décret visait à interdire progressivement les voitures atmosphériques sur tout le territoire wallon: Les véhicules sans norme et Euro 1 au premier janvier 2023, Euro 2 en 2024 etc… pour arriver au bannissement total en 2030. Une dérogation était prévue pour les véhicules anciens qui effectuent moins de 3.000kms par an.
Mars 2024: Compte tenu des nombreuses invraisemblances de ce décret, de sa mise en application quasi impossible, de son côté anti-social, de son faible bénéfice environnemental et (surtout) de l’approche des élections, la ministre wallonne écolo Céline Tellier vient de faire passer le projet à la trappe. Dommage pour ceux qui ont changé inutilement de voiture !