L’Europe garde la ferme intention d’interdire aux constructeurs automobiles de produire des voitures thermiques à partir de 2035. Il roulera encore à ce moment des millions de véhicules thermiques qu’il faudra abreuver et c’est la raison pour laquelle de nombreuses recherches se tournent vers des huiles végétales, à base de tournesol ou de colza qui ne font que déplacer le problème de la pollution et qui rajoute un souci inédit en consommant des produits alimentaires.
Un groupe d’étude entrevoit la possibilité d’utiliser de l’aluminium dans le carburant. Deux fois plus énergétique que le diesel, il permettrait de faire baisser la pollution et de recycler de nombreux déchets. L’idée n’est encore qu’une idée, mais elle prouve que la recherche met tout en œuvre pour trouver un produit de substitution qui permette à nos vieux moteurs de continuer à tourner en respectant l’environnement.
Crédit photo: Pixabay / Andrenikon45
De la poudre aux yeux pour nous faire croire que les voitures traditionnelles ont encore un avenir ?