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Vif succès pour les Boucles de Visé 2020… en attendant le retour des 6 Heures en 2021 !

C’était peut-être un plan B, mais il était de qualité ! En décidant de mettre sur pied des Boucles de Visé 2020 en adéquation avec les mesures sanitaires actuelles, en lieu et place de la traditionnelle grande fête conviviale du début d’automne que constituent les 6 Heures de Visé, les responsables du Basse-Meuse Classic Automobile Club (BMCAC) ont fait des heureux, permettant à plus de 120 équipages de sortir leurs voitures anciennes… ou modernes, afin de sillonner de belles routes et surtout passer un dimanche 4 octobre teinté de passion et de plaisir, avec notamment une pause de midi qui a aussi fait le bonheur du secteur Horeca visétois. » Le bilan de cette journée est clairement positif, ce que les sourires sur les visages ont parfaitement traduit au fil des heures, commente Philippe Budin, Président du BMCAC. En fait, nous n’avons enregistré qu’un seul forfait, hélas bien de circonstance, puisqu’il s’agit d’un équipage venant de Suisse qui n’a pu quitter la confédération helvétique avec sa Mini Cooper sous peine de quarantaine obligatoire au retour. Pour le reste, chacun a pu se féliciter du parcours concocté par Eric Chapa, qui a proposé un road-book clair, précis, dépourvu de subtilités s’apparentant parfois à autant de prises de tête. Le tout en tenant compte de l’obligation de repasser par Visé pour la pause de midi. Les superbes routes des cantons de l’est fréquentées l’après-midi ont fait l’unanimité auprès des concurrents, tandis qu’en matinée, le passage par le Limbourg voisin a permis à certains grands enfants de jouer dans les flaques, ce qui n’a pas manqué de faire le bonheur des photographes présents sur le parcours ! Des clichés qui apparaîtront bientôt sur la galerie du site officiel  »   

Parmi les objectifs que s’était fixés le Basse-Meuse Classic Automobile Club pour ces Boucles de Visé 2020, il y avait la mise en exergue du secteur Horeca de Visé, chaque concurrent étant libre de se rendre dans n’importe quel établissement de la cité de l’oie au moment du départ, sur le temps de midi ou au retour dans l’après-midi. « Et ça a parfaitement fonctionné, enchaîne Pierre-François Nihant, secrétaire de l’ASBL. Petit-déjeuner, café, apéro, déjeuner, verres en terrasse après l’arrivée, les participants ont clairement joué le jeu, ce qui nous a valu de nombreux remerciements de la part d’indépendants d’un secteur vraiment pas épargné depuis le début de cette année. Mission accomplie ! »

Si les Boucles de Visé 2020 ont rencontré un vif succès, qu’on ne s’y trompe pas, dans le chef des organisateurs, le but est de vite retrouver l’atmosphère des 6 Heures de Visé…  « Malgré tous les retours positifs, cet événement manquait de cette saveur festive qui caractérise habituellement les 6 Heures de Visé, reprend Philippe Budin. Les fameuses règles imposées par le Conseil National de Sécurité nous ont empêchés de faire la fête sous le chapiteau, de prendre un verre entre amis dans la rue commerçante, dans une liesse populaire en lien direct avec l’automobile ancienne. Croisons désormais les doigts pour que cette pandémie appartienne bien vite au passé ! En attendant, il nous reste à remercier les quelque 18 communes qui ont émis un avis favorable au passage des Boucles de Visé 2020. Merci aussi à nos nombreux partenaires, qui ont assuré la qualité du RALLY-BAG© offert à tous les participants… »

La capitale de la Basse-Meuse va désormais retrouver son ambiance d’arrière-saison, en attendant les réjouissances de fin d’année. Les voitures anciennes vont quant à elles entamer leur hibernation, pour mieux vrombir de plaisir en 2021. A très vite sur les routes avec le BMCAC !

Jaguar Type E : 2 pour le prix de… 2 et plus !

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Présentée au public pour la première fois en mars 1961 en Suisse, la Jaguar Type E avait d’emblée suscité l’intérêt des amateurs… et des autres. Les voitures présentées à cette occasion étaient un roadster immatriculé «77 RW» et un coupé portant la plaque «9600 HP», utilisés ensuite pour les essais presse.

Pour commémorer cet anniversaire, Jaguar décidé de se démarquer et restaurant à l’identique 6 coupés et 6 roadsters et en les vendant… par paire !

Mazda a 100 ans ! Autoworld s’en souvient

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Du 16 octobre au 13 décembre 2020, Autoworld rendra hommage à ce centenaire dynamique en proposant une rétrospective de la marque japonaise avec 16 voitures historiques et emblématiques, de nombreux documents et des miniatures exceptionnelles. De la Luce Coupé 130 Rotary de 1969 aux voitures actuelles comme la Mazda MX-5 ND, la Mazda3 Hatchback et la MX-30 (special 100th Anniversary), Autoworld met en avant, entre autres, des MX-5, RX-7, la 121 DB « Bolleke » ou encore la Mazda MX-5 Cup Car (MMB).

Quatre voitures de courses historiques complètent le pannel : la Cosmo 110 S – Marathon de la Route (MMB) de 1967, la RX-7 24H Spa (Jacky Van Kempen) de 1981, la 323 GTX avec laquelle Grégoire de Mévius remporta, en 1991, le championnat du monde des rallye des voitures de production (Geri Pelli – Italie) et, en point d’orgue,  la 787B qui remporta les 24 Heures du Mans en 1991, spécialement venue du musée du Mans pour cette occasion.

Lotus lance un « Certificat de provenance »

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Lotus vient de lancer un luxueux coffret contenant une sorte de certificat de naissance reprenant le type exact de la voiture, son numéro de châssis, sa date de fabrication, sa couleur, ses options et ses spécifications propres. Une lettre de fabrication est également jointe, reprenant toutes les données techniques et les équipements spécifiques à la voiture.

La FBVA change de nom pour mieux cerner ses objectifs

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La FBVA, Fédération Belge des Véhicules anciens, a pris la décision de remplacer son nom par BEHVA, Belgian Historic Vehicle Association, et dans le même élan, de moderniser son logo, et ce avec l’approbation d’une large majorité de ses membres.

Modifier le nom d’une organisation ne se fait pas à la légère, car son nom reflète son identité et fait partie intégrante de sa personnalité.

Jaguar relance la production du moteur XK

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Toujours dans un esprit de recréation, Jaguar, via son département « Classic », relance la fabrication de son célèbre moteur XK. Le bloc en fonte de 6 cylindres en ligne à 2 arbres à cames en tête et culasse aluminium est né en 1948 en version 3,4 litres extrapolé en 3,8 litres en 1958 et en 4,2 litres en 1965. Il sera aussi ramené à 2,4 litres pour équiper des versions de base, toujours en 6 cylindres, bien qu’une adaptation en 4 cylindres ait été étudiée.

La Porsche 356 fête ses 70 ans à Autoworld jusqu’au 30 août

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Autoworld consacre son exposition de l’été à la 356, première Porsche à porter l’écusson devenu depuis célèbre. Le public pourra admirer de nombreuses versions de la 356, dont les différentes versions pré-A, A, B, C (sous leurs déclinaison Speedster, Cabrio et Coupé) mais aussi la Denzel, la Zagato, la Hardtop Karmann, la D’Ieteren Roadster, la Carrera GT, la Carrera Abarth ou encore la Polizei.

Un peu d’histoire…

Aston-Martin va combler 25 apprentis James Bond

L’Aston-Martin DB5, construite à moins de 900 exemplaires entre 1963 et 1965 est à coup sûr une des voitures les plus désirables, au point d’avoir séduit James Bond en personne. La place de choix qu’elle occupe dans Goldfinger en 1964 lui donne une aura bien plus grande encore.

La FIVA tente de séduire les « jeunes »

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La FIVA (Fédération Internationale des Véhicules Anciens ou fédération internationale des véhicules historiques) invite les jeunes à soumettre des photographies, des peintures et des dessins sur le thème des « Véhicules historiques et du patrimoine industriel », dans le cadre de la Journée internationale de la jeunesse des Nations Unies, le 12 août 2020.

« Notre concours invite les jeunes à soumettre des représentations artistiques audacieuses et innovantes de véhicules historiques dans le contexte du patrimoine industriel, exprimant l’importance de maintenir les classiques sur les routes de demain », déclare Nataša G. Jerina, vice-présidente de fiva. « Bien que l’ONU définisse la jeunesse du monde comme le groupe d’âge des 15-24 ans, nous pensons qu’il est juste d’étendre cela aux jeunes de cœur. La jeunesse est un état d’esprit, nous n’avons pas d’âge limite, mais nous espérons néanmoins toucher de nombreux jeunes ». Trois catégories ont été déterminées :

Le temps d’un « clic » à Knokke le Zoute

J’ai entr’ouvert, une fois encore, ma boite à souvenirs… et une ancienne photo en noir et blanc a attiré mon attention.
Mais qui prend donc la pause ? Une superbe automobile décapotable, avec son équipage, sur la plage de Knokke le Zoute.
Ma maman (à droite, debout derrière le volant) entourée de ses parents. Ce jour-là, ils étaient les invités de Monsieur et Madame Laurent, heureux propriétaires de cette belle voiture. Ils venaient de participer au premier concours d’élégance au Zoute et avait eu la chance d’être primés. A voir leurs mines réjouies, on ne peut douter qu’ils viennent de passer un bon moment.

Ce concours d’élégance est devenu un prestigieux événement de réputation internationale, dont on prépare la onzième édition cette année, du 8 au 11 octobre.
Au dos de la photo, il est écrit que l’auto est une Dodge… mais on pourrait en douter…
J’ai donc posé la question à notre ami Jacques Bougnet, passionné et connaisseur de longue date et voici ce qu’il m’a expliqué : « Il s’agit soit d’un rare cabriolet British Dodge D23 Custom Eight, identique à la Chrysler Impérial 1939 mais assemblée dans l’usine Dodge de Kew dans la banlieue de Londres, ou alors d’une Opel Kapitan passée par les mains d’un carrossier, ce que faisaient réaliser des amateurs de concours d’élégance »
Une petite touche d’histoire imprimée dans cette photo souvenir.