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L’Alfa Romeo GTA remporte le « Motor Klassik Award 2025»

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Les lecteurs du célèbre magazine allemand Motor Klassik consacré aux voitures classiques, publié depuis 1984, ont désigné l’Alfa Romeo GTA comme leur modèle favori dans la catégorie « Classiques italiens ». L’édition 2025 du concours a réuni plus de 17 000 votants, invités à élire leurs voitures de collection préférées dans vingt catégories. Dans la section « Classiques italiens », l’Alfa Romeo GTA a surpassé des concurrentes prestigieuses telles que Ferrari, Maserati et Lamborghini. Avec 37,6 % des suffrages, elle rejoint la GTV6 des années 1980 qui avait été couronnée en 2023.

Crédit photo: Robert Laboureur

Après ses titres en Formule 1 en 1950 avec Giuseppe « Nino » Farina et en 1951 avec Juan Manuel Fangio, la marque se tourne vers les courses de voitures de tourisme, très populaires auprès des passionnés. Les épreuves d’endurance disputées au Nürburgring, à Monza, à Brands Hatch ou encore à Zandvoort attirent des centaines de milliers de spectateurs. C’est dans ce contexte qu’Autodelta, le département compétition d’Alfa Romeo, conçoit une version ultralégère de la Giulia Sprint GT. Pour réduire le poids, les ingénieurs remplacent l’acier par du Peraluman, un alliage d’aluminium, de magnésium, de zinc et de manganèse. Les éléments extérieurs – portes, capot et panneaux de carrosserie – sont en aluminium, tandis que seuls les piliers de toit et le plancher conservent l’acier. Les vitres latérales et arrière sont en plexiglas. Le moteur, déjà en aluminium, est allégé grâce à l’usage d’Elektron, un alliage de magnésium, pour de nombreuses pièces : carter d’huile, couvercle avant du moteur, cache-soupapes et éléments de transmission. Avec son double allumage et ses deux carburateurs Weber 45 mm, ce moteur développe 115 ch. La GTA, où le « A » signifie « alleggerita » (allégée), affiche ainsi un poids inférieur de plus de 200 kg à celui de la Giulia Sprint GT standard. Esthétiquement, elle se distingue par des prises d’air supplémentaires à l’avant, des poignées de porte en aluminium, des jantes Campagnolo en magnésium, des rivets visibles sur la carrosserie et des stickers arborant le célèbre Quadrifoglio Verde. Présentée en 1965, la GTA repose sur la version coupé de la Giulia. Contrairement au modèle standard à carrosserie en acier, elle est presque entièrement construite en alliage léger. Conçue dès l’origine pour la compétition, elle ne pèse que 745 kg. Son moteur quatre cylindres de 1,6 litre, doté d’un double arbre à cames en tête et d’un double allumage par cylindre, figurait parmi les plus avancés de son époque.

Crédit photo: Constructeur

Présentée officiellement au Salon de l’Automobile d’Amsterdam en 1965, elle est proposée en seulement deux couleurs, rouge et blanc. Autodelta peaufine encore la GTA pour la compétition. Les versions de course bénéficient d’un réservoir de 90 litres, d’un refroidisseur d’huile, d’un arceau de sécurité, d’un différentiel à glissement limité ZF et d’une barre stabilisatrice arrière. Des options spécifiques permettent d’adapter la transmission, la suspension et les rapports de boîte en fonction des besoins. À l’intérieur, l’habitacle est encore plus dépouillé, avec un tableau de bord réduit à un simple carton recouvert d’un film décoratif sur certains modèles. Grâce à des pistons spécifiques, un collecteur d’échappement élargi, des arbres à cames suralimentés et une admission optimisée, la puissance du moteur grimpe à environ 170 chevaux. L’échappement latéral, qui débouche sous la porte du conducteur, émet une sonorité rageuse devenue légendaire. Dès son lancement, l’Alfa Romeo GTA domine la catégorie 1,6 litre des courses de voitures de tourisme. Andrea de Adamich remporte le Championnat d’Europe en 1966 et 1967, suivi de Spartaco Dini en 1969. Alfa Romeo s’impose également chez les constructeurs durant ces mêmes années. La GTA s’illustre également dans les championnats nationaux, les courses de côte et même en rallye. Parmi les pilotes les plus célèbres à avoir couru sur GTA figure le futur champion du monde de Formule 1, Jochen Rindt. En 1968, Alfa Romeo lance une version 1300, produite à environ 500 exemplaires. Aujourd’hui, les versions GTA de la Giulia Sprint comptent parmi les voitures classiques les plus recherchées, avec des prix dépassant largement les 100 000 euros. Les modèles de course avec historique documenté atteignent parfois trois fois cette somme.

Résultats publié dans Motor Klassik no. 4/2025.

5e Rallye d’Elégance

Chers Passionnés de véhicules anciens et de prestige,
Notre association Menaulu 1869 aura l’honneur d’ organiser le 5 ème rallye d’
élégance ce dimanche 25 mai 2025.
Tous les bénéfices récoltés seront distribués aux diverses associations que nous
supportons; aides à la jeunesse, oeuvres pour le cancer…
La journée se déroulera en plusieurs moments:
8h00 – 9h00: Accueil et déjeuner.
9h00 – 9h30: Départ.
10H30-11H30: Arrêt apéritif.
12H00: Retour et apéritif.
13h30: Repas, bar (soft, vin, bière et champagne).
14h30 – 16h00: Concours d’élégance: les voitures seront présentées par leur
propriétaire à un jury composé de professionnels de l’ automobile.
16h30 – 17h00: Remise des prix.
Nous espérons vous y rencontrer nombreux,
Les Membres de l’association Menaulu 1869

« Alpine, 70 ans »

Il y a 70 ans, en juillet 1955, Jean Rédélé, jeune constructeur de Dieppe, présentait à la Régie Renault trois prototypes sportifs animés par des mécaniques Renault. Vêtus de bleu, de blanc et de rouge, ils préfiguraient une magnifique histoire avec la A106, l’arrivée de la A110 en 1962, la distribution par le réseau de la Régie en 1966, avec une vocation sportive de plus en plus affirmée, récompensée par de nombreux succès en rallye et en endurance. 22 ans après l’arrêt de la production de la A610, la nouvelle A110, présentée en décembre 2017 ravive les passions.

Profitant de cet anniversaire, la série de vidéos « Alpine, 70 ans » raconte cette histoire en plusieurs épisodes. Le premier volet, intitulé « La légende Alpine », nous fera rencontrer Philippe Krief, le CEO d’Alpine et Jean-Charles Rédélé, le fils du fondateur, dans le plus beau décors qui soit : La petite usine parisienne d’où sortirent les premières voitures et qui renferme actuellement une incroyable collection. Espérons que les épisodes suivants arriveront bientôt !

Audi Brussels : C’est fini

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Audi Brussels a mis la clé sous la porte ce vendredi 28 février 2025. La fin d’une aventure commencée le 27 septembre 1948 par la pose de la première pierre à Forest, sur un terrain de plus de 54 hectares.

Propriété de la famille D’Ieteren, cette usine était à la base destinée à assembler pour l’Europe des Studebaker dont D’Ieteren était l’importateur. Importateur aussi de VW, l’usine de Forest se lancera en 1954 dans le montage de la Coccinelle, qui jusqu’alors était fabriquée en Allemagne et acheminée en Belgique par train. L’usine prendra tout son essor dans les années ’60, où plus de 7.000 voitures seront assemblées par jour, le cap des 500.000 Coccinelles produites étant dépassé fin 1967. La demande de Coccinelles baissant, l’usine produira des Porsche 356, des Karmann Ghia, puis des Golf, des Passat et même des Seat.

En 1967, Volkswagen rachète l’usine à la famille D’Ieteren pour quelques années d’euphories mais la situation se dégrade et en 2007 VW cède le site à Audi qui le rebaptise Audi Brussels, après avoir produit plus de 6 millions et demi de voitures.

En 2018, Audi mise sur la voiture électrique haut de gamme. L’Audi Q8 e-tron devient vite le modèle principal produit à Forest, mais le manque d’intérêt du public pour les électriques, le prix très élevé de la Q8, le prix de la main d’oeuvre en Belgique et la concurrence asiatique mettront l’usine en difficulté. La Volkswagen Q4, dernier espoir, ne sera pas produite en Belgique car le marché allemand rencontre les mêmes difficultés. La fermeture du site devient incontournable, laissant plus de 3.000 travailleurs sur le carreau. Le 28 février 2025, l’usine fermera définitivement ses portes après 76 ans l’existence.

Après Renault et Ford, Audi est le troisième constructeur à quitter la Belgique, la production nationale n’étant plus représentée que par l’usine Volvo de Gand qui semble bien se porter, pour l’instant du moins.

Renault aussi pense à ses anciennes !

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« The Originals Renault Service » lance un ensemble de services destinés aux collectionneurs de Renault du monde entier qui désirent entretenir, réparer et restaurer leurs voitures classiques.

Depuis 2022, Renault proposait déjà une attestation certifiant la conformité d’un véhicule en indiquant la date de sortie d’usine et en confirmant les numéros de châssis, les numéros de moteurs, de boite de vitesses, les couleurs et les options.

La marque au losange s’ouvre maintenant à de nouveaux services comme le déclare Arnaud Belloni, Directeur Marketing et de Marque de Renault. « Nous proposons de nouveaux services conçus pour répondre à tous les besoins des passionnés des collections de véhicules anciens de la marque Renault, afin de les aider à entretenir, restaurer et préserver leurs trésors automobiles. Un moyen d’œuvrer à la préservation de notre patrimoine automobile commun, dans une démarche de transmission pour les générations futures »,

Les collectionneurs peuvent maintenant trouver des pièces détachées grâce à un réseau de sites après-vente Renault, ainsi qu’auprès des partenaires historiques de la marque spécialisés dans des domaines tels que les voitures de sport (Arnaud Ventoux Pièces), la sellerie (ASCI Sellerie) et les voitures grand public (Melun Retro Passion).

Sur le site internet « The Originals Renault Services », les collectionneurs pourront également accéder gratuitement à 50 manuels de réparation d’époque, issus des archives Renault, mais également à des tutoriels pédagogiques en ligne, pour les aider à effectuer eux-mêmes l’entretien et les réparations de leurs modèles anciens préférés.

Dans le même temps, la marque annonce la certification, en 2025, de 25 concessionnaires spécialisés en Renault anciennes répartis dans toute la France, dans le but de permettre à tous les collectionneurs de trouver un expert à moins de 100 km de leur domicile. Huit sites sont d’ores et déjà ouverts aux collectionneurs. Soutenue par les experts du réseau Renault, cette initiative est appelée à s’ouvrir à l’international dans les prochaines années.

Bravo pour cette initiative !

François Allain et Jean-Louis Pichafroy, auteurs des tutos

Vous en saurez plus sur https://theoriginals-services.renault.com/

Les Alfa-Roméo de course fêtées au Goodwood Revival

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Le Goodwood Revival, qui se tiendra du 12 au 14 septembre 2025 sur le célèbre circuit anglais réunira une collection de voitures de course Alfa-Romeo venues fêter plusieurs grands anniversaires de la marque, dont le centenaire de la victoire au premier championnat du monde des constructeurs et le 50e anniversaire de la victoire au championnat du monde des voitures de sport de 1975.

Le Revival se souviendra des pilotes de légende qui ont roulé sur Alfa-Roméo, dont Antonio Ascari, vainqueur de quatre grands prix, Juan Manuel Fangio, cinq fois champion du monde, Giuseppe Farina, vainqueur de cinq grands prix et premier champion du monde des pilotes et le plus grand pilote d’Alfa-Roméo d’avant-guerre, Tazio Nuvolari.

Une belle occasion de voir rouler des voitures de Grand Prix, des voitures de sport, des voitures de tourisme et des prototypes, y compris les machines devenues célèbres aux 24 Heures du Mans, aux Mille Miglia et à la Targa Florio. L’Alfetta 158, première voiture victorieuse du championnat de Formule 1 sera présente, tout comme les Tipo 308C, TZ2 et Tipo 33 qui ont fait les beaux jours d’Alfa-Roméo sur tous les circuits du monde, de 1925 à 1975.

Il n’y aura pas que des Alfa-Romeo au Goodwood Revival, pour exemple la parade d’ouverture qui rassemblera de nombreux VW Type 2, au grand bonheur des campeurs de tous poils…

2018 Goodwood Revival 7 – 9th September Goodwood Revival Goodwood, England. Photo: Nick Dungan

Une Maserati 3500GT restaurée par Touring Superleggera sera a Rétromobile

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Lors de votre visite à Rétromobile cette semaine, vous ne manquerez pas d’admirer cette magnifique Maserati 3500GT datant de 1959, livrée neuve en Californie à la famille Dodge qui l’a conservée pendant des décennies. La 3500GT est importante dans l’histoire de la marque car il s’agit du premier modèle produit à grande échelle, ceci restant assez relatif. Construite en aluminium sur un châssis tubulaire maison, elle ne pèse que 1300kgs. Le 6 cylindres, gavé au départ par 3 carburateurs Weber adoptera rapidement un système d’injection Lucas offrant 235 chevaux, transmis par une boîte ZF à 4 vitesses. Des freins à disques à l’avant seront proposés en option à partir de 1959. C’est également en 1959 qu’un élégant spider, dessiné par Giovanni Michelotti viendra compléter la gamme…

Cette excellente base, soigneusement préservée permettait une identification sans équivoque. Entièrement restaurée dans l’atelier de Touring Superleggera, cette voiture emblématique a retrouvé sa splendeur d’origine chez le célèbre carrossier milanais, avec le soutien technique et la documentation de Maserati Classiche, la branche historique de la marque au trident. Plus de 300 vérifications ont permis de vérifier sa conformité totale au modèle.

Le programme Maserati Classiche travaille à la préservation de son patrimoine automobile avec un service exclusif dédié aux clients et collectionneurs de la marque. Il aide les amateurs a entretenir ou restaurer des Maserati de plus de 20 ans et dispose d’un service capable de refabriquer les pièces introuvables sur le marché. Un comité d’experts très rigoureux décerne des Certificats d’Authenticité, véritable garant de l’originalité des véhicules.

Info Newspress

Autoworld célèbre les 110 ans de Maserati

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Venez découvrir, jusqu’au 23 février 2025, une collection unique de plus de 40 Maserati qui retracent l’histoire fascinante de la marque créée en 1914 par les frères Alfieri, Carlo, Bindo, Mario, Ettore et Ernesto Maserati.

Bien que l’entreprise ait été fondée à Bologne en 1914, ce n’est qu’en 1926 que Maserati est apparue sur la ligne de départ avec sa propre voiture de course. Au cours des années précédentes, les frères Maserati préparaient des voitures d’autres constructeurs. La Tipo 26, entièrement conçue et fabriquée par Maserati, marque donc un tournant dans l’histoire de la marque. Avec cette voiture, Alfieri Maserati remporte la prestigieuse Targa Florio mais la route vers le succès n’a pas été sans obstacles, et les frères Maserati seront contraints de vendre leur entreprise à l’industriel Adolfo Orsi en 1937. La marque continue de briller sur les circuits, avec en point d’orgue la 250F, la voiture de Formule 1 avec laquelle Juan Manuel Fangio remporte son titre mondial en 1957.

À partir de 1946, Maserati se lance également sur la conception de voitures de route élégantes. L’introduction de l’A6 1500 ouvre un nouveau chapitre, alliant performances, raffinement et beauté. Des modèles tels que la 3500 GT, la Mistral, la Ghibli, la Merak et la Khamsin incarnent l’engagement de Maserati en faveur du style de vie Gran Turismo.

Des circuits de course aux élégants boulevards, cette exposition met en évidence le pouvoir d’innovation de Maserati, mais aussi la résilience avec laquelle la marque a surmonté les obstacles et créé une beauté intemporelle. L’exposition met également la gamme actuelle à l’honneur. ACG Maserati exposera notamment un modèle promotionnel spécialement conçu, conformément à la tradition d’Autoworld qui consiste à créer des modèles aux couleurs uniques.

16e Love Bugs Parade : Le Belgian VW Club fête ses 60 ans

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Point culminant de ce mois de février, la très attendue Love Bugs Parade, charmant clin d’œil, à quelques jours de la Fête de Saint-Valentin, pour tous les amoureux… des coccinelles.
Cette 16ème édition fête les 60 ans du Belgian VW Club en réunissant, le 16 février 2025, près de 200 Cox, Beetle et Combi sur l’Esplanade du Cinquantenaire devant Autoworld. 
A 14h00, le signal du départ est donné ! La Love Bugs Parade s’ébranle alors dans un joyeux chaos de klaxons et de cris de joie. Après une balade de près d’une heure trente, les voitures reviendront à Autoworld où elles pourront à nouveau être admirées.
 
C’est une journée animée de l’esprit de liberté, de musique et de convivialité inspirée depuis toujours par cette petite voiture. Le public est invité à venir se plonger dans cette joyeuse ambiance entre 11h et 14h…

Enfin une vaste bibliothèque consacrée aux véhicules anciens

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L’idée existait depuis des décennies mais le manque de place, le coût du scannage de tous les documents et l’impossibilité du trouver un mode de classement rationnel et commun à tous ont chaque fois compromis le projet. La BEHVA a trouvé un accord avec Liberas, comme elle nous l’annonce dans le communiqué de presse suivant. Nous attendons avec impatience la mise en pratique…

« Dans le cadre de sa démarche de sauvegarde de la mémoire des véhicules historiques, la BEHVA, Belgian Historic Vehicle Association, travaille depuis plusieurs années sur un projet de collection, comprenant des livres techniques, des revues anciennes, des photos, des vidéos, des affiches et des brochures, contribuant à la consolidation et à la diffusion de l’histoire des véhicules historiques, renforçant aussi l’expertise de la fédération dans l’identification et la datation des véhicules.

Peeter Henning, CEO de BEHVA: « Manquant de ressources pour répondre efficacement au besoin de consultation des documents sous notre garde et désireux de les rendre accessibles au public, d’en augmenter la visibilité, d’assurer à terme leur disponibilité en ligne, nous avons signé un accord avec Liberas, le centre patrimonial pour l’histoire de l’idéal de la liberté. L’automobile a cimenté la démocratie libérale. »

Bruno Van Verdeghem, chargé des partenariats chez Liberas : « En accueillant les archives de BEHVA, nous complétons utilement notre propre collection. L’ambition est de constituer une véritable collection nationale automobile, libre de toute idéologie politique ou sociale. De rendre consultables en ligne ou en salle de lecture à Gand, une collection toujours plus importante de documents. D’intéresser les jeunes en particulier à l’histoire de la mobilité motorisée. »

Depuis la signature de l’accord avec BEHVA, aucun obstacle majeur n’a été relevé et Liberas explore différentes pistes de réflexion autour du rapprochement d’autres collections d’archives automobiles.

Situé à Gand et proposant déjà 660.000 documents historiques en ligne, Liberas est le centre de référence pour l’histoire du mouvement libéral et de l’idéal de la liberté sous toutes ses facettes en Belgique et en Flandre. Dans le cadre de ses activités, Liberas accorde une attention particulière à l’héritage d’entreprise et à la mobilité.

Située à Bruxelles, BEHVA -Belgian Historic Vehicle Association- a pour mission de préserver les véhicules historiques sur les routes de demain auprès des autorités nationales, régionales et locales, et de faire participer le vaste mouvement de ces véhicules à la vie culturelle, économique et sociale en Belgique.

 Contacts :

Liberas : Bruno Van Verdeghem, juriste, historien, auteur, Chargé des Partenariats, mobile : +32 470 62 68 08

BEHVA : Peeter Henning, Chief Executive Officer, mobile: +32 495 38 98 12″